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ngày 31 tháng 3 năm 2025
Forts de nos précédentes expériences dans les deux autres établissements Belambra des Ménuires, nous avions hâte de poser nos valises au Belambra Club Les Airelles pour une escapade hivernale entre amis. Le site promettait des souvenirs enneigés inoubliables, une parenthèse enchantée entre descentes exaltantes et soirées conviviales. Hélas, ce séjour s’est rapidement transformé en un véritable parcours du combattant, où chaque jour révélait son lot de désillusions et d’inconforts. Dès l’instant où nous avons franchi la porte de notre appartement, l’évidence s’est imposée : nous allions devoir faire preuve d’une résilience hors du commun. La scène qui nous attendait était digne d’un film d’horreur pour toute personne ayant un tant soit peu le goût du propre. Un sol criblé de poussière, une VMC dont les grilles semblaient n’avoir jamais connu l’ombre d’un chiffon, une vaisselle à la propreté douteuse qui nous faisait hésiter avant de l’utiliser, et une cuisine où la graisse régnait en maître absolu. Mais le véritable coup de grâce ? Le surmatelas jaunâtre posé là, tel un vestige d’un âge révolu, témoignant du peu de considération porté au confort des hôtes. Nous avions pourtant signé pour un séjour de détente, pas pour une immersion forcée dans une expérience de survie en milieu insalubre ! Autre belle promesse de l’établissement : un "appartement pied de piste". Une affirmation qui, en réalité, cache une petite subtilité… En effet, pour atteindre les pistes, il faut marcher au moins sept minutes, skis sur le dos, en affrontant une immense montée jamais déblayée. Un excellent échauffement avant la première descente, à condition de ne pas glisser et chuter avant même d’avoir chaussé ses skis. Comme si cela ne suffisait pas, nos voisins, visiblement peu soucieux du bien-être collectif, avaient pris l’habitude de transformer notre balcon en salon fumeur et le talus en contrebas en cendrier improvisé. Et que dire de l’intervention magistrale du personnel de l’hôtel face à cette situation ? Un mélange de désinvolture et d’inaction, où chaque demande semblait se perdre dans les méandres de l’indifférence générale. "Nous allons voir ce que nous pouvons faire" – promesse jamais suivie d’effet. Une gestion de crise d’une efficacité redoutable, à condition que l’objectif soit de ne surtout rien régler ! Devant l’état de notre logement, nous avons eu droit à une compensation d’une générosité à couper le souffle : des serviettes et un ménage de fin de séjour offert. Il est vrai que, face à une hygiène défaillante et un appartement à la limite du tolérable, quoi de mieux qu’une pile de serviettes immaculées pour nous faire oublier la poussière et la crasse accumulées ? Si seulement cela s’arrêtait là… Mais non ! La hotte aspirante de la cuisine ne fonctionnait pas, rendant toute tentative de préparation de repas aussi délicate que périlleuse. Un comble pour un appartement censé offrir un minimum d’autonomie culinaire ! Nous avions parfois l’impression d’ê
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